Photo de couverture

Cocktail #27 – Mai 2016

Saviez-vous que chaque année à cette même période, c'est le mois de mai qui commence ?

Non ? Allons allons les limomos, vous n'êtes pas nés de la dernière giboulée de neige quand-même !

Mais si vous savez bien, le mois de mai, considéré aussi comme le mois des "fais ce qu'il te plait", des "pas de mais", des "allez allez", en bref le mois de la motivation retrouvée - proportionnellement liée à l'absorption de vitamine D par votre organisme, autrement qu'en sniffant des pastilles de magnésium pilées, achetées dans les toilettes d'une boîte de nuit alors que vous n'avez que 16 ans -.

Et oui, mais c'est également le mois de l'insouciance naissante, tels les premiers bourgeons de muguet côtoyant l'urine de beaux jeunes gens trop plein de MDMA et de style (mais surtout de MDMA), parcourant le site d'un des premiers festivals en plein air de l'année.

Voilà, le temps des neurones qui papillonnent et s'envolent, emportés par ce petit vent (enfin) doux avec les vapeurs de vos rots après ces trois pintes trop rapidement consommées. Le début du vrai bonheur donc, surtout pour tous ceux qui, comme nous, aiment à se rouler joyeusement bourrés dans les pâquerettes comme du nutella dans un roulé au nutella, pendant un goûté d'anniversaire d'enfants futurs prothésistes dentaires (?).

Au Limonadier on savait déjà tout cela… Et dans le but d'offrir le meilleur écrin sonore à tout cet optimisme retrouvé, nous vous avons préparé un cocktail sucré salé punchy et rafraîchissant, empli de sons en tout genre allant des chants de petits oiseaux mignons aux guirlandes de guitares hawaïennes, en passant par des beats chaloupés et chaloupants. Des ingrédients naturels donc, aux influences pop, house, boom boom, boom bap, gentille trap, méchante techno, etc.

Santé à tous et, quand même, vive le printemps !

Cocktail #27 | May 2016 by Limonadier
Jean "Boris" Calin, le shlag salé
Jean Calin
Rédac-chef pas vraiment hyperactif mais tout même assez fidèle à ses principes, comme ne pas utiliser la première personne pour éviter de paraître autocentré, même s’il a parfaitement conscience qu’écrire une mini biographie à la troisième est encore pire. Tout comme on observerait un écureuil une après-midi d’automne, vous pourrez le retrouver régulièrement sur ce site en train de gratter frénétiquement son obsession pour la musique qui procure des émotions un peu tristes, du genre LA MELANCOLIE. PS : il galère à ne pas placer ce mot un peu partout. SVP, aidez-le.

ÇA PEUT VOUS PLAIRE